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Dispositif de recherche théorique et d’intervention stratégique, le Réseau Pratiques Sociales soutient des orientations transdisciplinaires et transprofessionnelles dans les champs social et médico-social, pédagogique et de formation, santé, droit, politique…

Orientation centrale : « idéologie et inconscient fond nœud », chez chaque sujet, au sein de toute pratique, dans les fonctionnements institutionnels, dans les rapports entre classes sociales.

Réseau ouvert aux échanges et mutualisations : personnes, groupes, revues et institutions en France et à l’étranger, notamment Espagne, Suisse, Amérique Latine, Québec.

Le Réseau Pratiques Sociales réalise des interventions sur demande, en présentiel et en distanciel.

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Activités et projets du Réseau Pratiques Sociales : documents présentés lors de l’Assemblée Générale de mars 2023

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LePasDeCôté N° 140 avril 2024

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Le travailleur social, un sujet supposé pouvoir ?

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Interview de Saül Karsz par Laurence LILONI RIGGAZ, responsable pédagogique à l’ENSEIS :

Saül Karsz :                           itinéraire d’un enfant espiègle

LLR : « Dis-moi, Saül, c’est qui l’enfant espiègle qui fait briller tes yeux ? »

SK : « Etant post-freudien, j’ai du mal à maitriser toute mon histoire. Je ne sais pas !  Le monde et les gens m’intéressent. Je pense que je n’ai pas tout compris du monde… Quand j’étais gamin, je voulais grandir… »

A retrouver sur la chaine YouTube de l’

en cliquant sur ACCEDER            ci-dessous

Chers Vous,

Aujourd’hui, 1er mai, c’est jour de BAL : la guerre des trois (Bolloré, Arnault et Lagardère) a tourné vinaigre ; c’est « règlement de comptes » à OK Bocal, dans le pot pourri des profiteurs. Lagardère, le chevalier d’industrie, la fine lame des soirées sucrées, le bossu de la frimance, devra rendre la somme de 215 millions d’euros pour abusement des biens sociaux. Faut dire qu’il s’est bien abusé, le p’tit Arnaud ; sautillant d’une sauterie à l’autre dans son jet privé, pendant que les turbineurs allant turbiner du matin au soir, s’entassent dans les RER pour regagner leur case. Notre Maire à tous a trouvé de quoi rembourser sa dette ! Il pourra retourner à confesse, avec comme acte de contribution : répétez 10 fois des « Je vous salis ma rue » et « ce que tu fais au plus petit d’entre nous, c’est à moi que tu le fais« . Le travail rend libre, qu’y disaient, ceux qui préconisent les sacrifices humains, en diminuant le Revenu de Solidarité Active de quelques sous, pour renflouer les bourses de tonton Bruno. Alors, écoutez tata Arlette : Travailleurs, Travailleuses, à partir d’aujourd’hui, faites la fête au travail, ne laissez plus Vincent, Bernard, Arnaud et les autres.. vous voler votre vie.               Eugénie